Dwormur, apprenti Gardien

(il faut que je mette tout ça en forme, je le ferai plus tard. Pour le moment, je lance les idées en vrac)

Dwormur, alors jeune, veut comme tout bon nain avoir une longue barbe (ce que son âge ne lui permet pas encore), travailler les minerais en tant que forgeron ou joailler et combattre, acier nain contre acier orque, avec férocité.

Entraînement martial dirigé par un maître d'arme supersticieux. Dans son enthousiasme et l'envie de prouver sa valeur, le jeune Dwormur confond masse et mandoline, celle abandonnée un instant par un maître artisan venant assister quelques minutes à l'entrainement. Il saisit avidemment l'instrument, le brandit et l'écrase dans un bruit tout à la fois mélodique et de tonerre sur le crâne d'un élève innatentif et heureusement casqué.

Le maître décide alors, par prudence et convaincu que ces débuts sont un signe pour le futur, d'éloigner cet impétueux de ses exercices et l'envoie se former auprès d'un nain taciturne et savant, versé dans l'art des complaintes et autres chants festifs.

Le jeune Dwormur devient avec le temps un ménestrel de talent, canalisant la force que mit Aulë dans le coeur de sa race, mais la fougue de sa jeunesse, ses désirs de combat, restent bien perceptibles dans son habitude de foncer en tête vers l'ennemi, chapeau à plume bravant le vent, sifflotant un chant de guerre, les doigts sur le manche de l'instrument à la fois souples et déterminés, pour jouer quelques notes ou briser quelques crânes.